Bon à savoir pour appeler les secours dans des situations où le silence s’impose (prise d’otage, attentat…), envoyez un SMS au 114 . Ce numéro d’urgence, a été créé pour les personnes sourdes et malentendantes, il peut-être aussi être utilisé dans ces circonstances. Pour un appel vocal composez le 112.
Il y a 3, 5 millions de bénévoles en France. sans eux, le sport n’existerait pas tel qu’on le connaît. Derrière chacun, c’est une ressource humaine indispensable à la vie des clubs et la vie sociale. Avril approche, défendons-les. À quand un statut national du bénévole ?
L’on vit décidément une époque formidable, le retraité René Robert photographe de métier victime d’un malaise a agonisé pendant 9 heures dans une des rues fréquentées de Paris sans qu’aucun passant ne s’intéresse à son sort. Il a fallu que cela soit un SDF qui le remarque, mais trop tard. Robert est décédé d’hypothermie à l’hôpital. Honte à tous ces passants qui n’ont d’humains que l’allure.
Entendu ce jeudi, les propos sidérants du directeur général de l’assistance publique et hôpitaux de Paris (AP-HP) , comme quoi, d’après lui, il serait logique de refuser les soins gratuits à ceux qui n’ont pas un schéma vaccinal complet. Pendant qu’on y est, pourquoi pas, faire payer ceux qui fument, les alcooliques, les diabétiques, les handicapés, les vieux …
S’il y a actuellement des problèmes de santé en France , la responsabilité incombe à certains politiques d’avant ou d’après crise sanitaire plutôt que de designer des boucs -émissaires à la vindicte populaire.
Le serment d’Hippocrate que cette personne a prononcé au moment d’exercer la médecine est foulé à pieds joints.
En toute logique dans un État dit normal, de tels propos auraient dû entraîné le limogeage de cette personne et da radiation par le Conseil de l’ordre des médecins. Mais peu à peu, la normalité, la bienveillance, l’empathie qui sied à cette profession visiblement ne sont plus politiquement correct. La feuille Excel du gestionnaire a remplacé le peu d’humanité de ces gens-là.
À propos ce fameux serment dit : « Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité. Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux. Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité. J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences. Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les moeurs. Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés. J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité. Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque ».
Parlant ! N’est-ce pas ?